La deuxième partie de l’enquête de la soirée sur les influenceurs de France 2 dicte la majorité des actions de ses participants.

Ecrit par Lucie Magastre 15 septembre 2022

Initialement programmé le jeudi 8 septembre, le magazine d’investigation « Complément d’Enquête », diffusé sur France 2, a été reprogrammé ce dimanche 11 septembre à 22h35. Consacrée au business des influenceurs, cette émission inédite a fait l’objet de menaces d’avocats d’influenceurs figurant dans le rapport, comme le révèle Puremédias.

En seconde partie de soirée, en tête.

Le choix de cet horaire a permis au service public de tirer le meilleur parti de son audience et d’obtenir un contre-pied critique de la part des parties prenantes.Cependant, au fur et à mesure que la soirée avançait, le service public a fini par recevoir des plaintes de la part de certaines parties prenantes qui estimaient ne pas pouvoir approcher le réseau de manière raisonnable.
Cela représente un total de 975 000 téléspectateurs. En deuxième position, on trouve le magazine  »
Espace » diffusé par France 2.

Promotion de sites douteux

Mais l’émission a révélé le placement de produits de télé-réalité sur la « Comédie des Garçons », qui a démontré les coulisses de la campagne des annonceurs sur le programme. Plus de 140 000 tweets ont été comptabilisés le lendemain de cette émission, faisant de la mention de la campagne sur cette émission à #Complementdenquete #Madee l’arrière en atouts.

Une certaine pratique douteuse qui se produit sur les réseaux sociaux comme les tweets de la célébrité de la télé-réalité Milla Jasmine et les tiktokeeurs tik-tokers
employés sur ces réseaux sociaux pour promouvoir des sites de
ou de produits contrefaits et parfois de produits contrefaits a attiré beaucoup d’attention.

Magali Berdah a fait face à la situation.

Tout au long de l’histoire, ils ont été confrontés à leur produit
produits. Une autre partie était consacrée aux agressions sexuelles. Ils ont également révélé
leurs salaires.

Une controverse circule dans l’industrie au sujet de Shauna Events. Après le reportage, un employé d’une agence d’influenceurs a révélé que l’agence et ses clients ont provoqué une thérapie d’extensivité. La directrice générale de l’agence d’influenceurs, Magali, de Douwe Egberts, a tenté de se démontrer sur ses pratiques et celles de certains de ses clients. Elle s’est défendue de ne pas porter de montre connectée, promeut-elle, à cause d’une tendinite au bras.